SciViews::R
## ── Attaching packages ────────────────────────────────────────── SciViews::R 1.1.0 ──
## ✔ SciViews 1.1.0 ✔ purrr 0.3.2
## ✔ chart 1.3.0 ✔ readr 1.3.1
## ✔ flow 1.0.0 ✔ tidyr 0.8.3
## ✔ data.io 1.2.2 ✔ tibble 2.1.1
## ✔ svMisc 1.1.0 ✔ ggplot2 3.1.1
## ✔ forcats 0.4.0 ✔ tidyverse 1.2.1
## ✔ stringr 1.4.0 ✔ lattice 0.20.38
## ✔ dplyr 0.8.0.1 ✔ MASS 7.3.51.3
## ── Conflicts ─────────────────────────────────────────────── tidyverse_conflicts() ──
## ✖ dplyr::filter() masks stats::filter()
## ✖ dplyr::lag() masks stats::lag()
## ✖ dplyr::select() masks MASS::select()
Introduction
L’étude porte sur les variations morphologiques des fleurs de trois espèces d’iris que sont Iris setosa Pall. ex Link (1820) , Iris versicolor L. (1753) et Iris virginica L.. Ces espèces appartiennent à la famille des Iridaceae. Ces trois espèces se développent dans des milieux humides.
Matériel et méthodes
Edgar Anderson (1935) a récolté les trois espèces d’iris en Gaspésie (Québec, Canada) en 1935 au moment de la floraison. La péninsule de Gaspésie est entourée par l’estuaire du fleuve Saint-Laurent, le golfe du Saint-Laurent et la baie des chaleurs.
Cinquante plants par espèces sont prélevés afin d’étudier la biométrie de leurs fleurs. La longueur et la largeur des pétales et sépales sont mesurées (en centimètre).
Résultats
# Importation des données
iris <- read("iris", package = "datasets", lang = "fr")
Le tableau de données comprend 5 variables et 150 observations. i
iris %>.%
DT::datatable(.,
options = list(
language = list(url="//cdn.datatables.net/plug-ins/1.10.11/i18n/French.json"),
lengthMenu = c(5,10,20,50)
)
) %>.%
widgetframe::frameWidget(.)
# Les datatable ne s'affichent pas correctement dasn le blog, il faut donc employer cette parade avec le package widgetframe
chart(iris, sepal_length ~ sepal_width %col=% species) +
geom_point()
La différence morphologique des sépales permet d’isoler I.setosa des deux autres espèces d’iris (Figure 1).
chart(iris, petal_length ~ petal_width %col=% species) +
geom_point()
I. setosa a des pétales plus courts et plus fins qu’I. versicolor et I. virginica. La différence morphologique des pétales permet d’isoler à nouveau I. setosa des deux autres espèces. Elle permet également d’obtenir une meilleure distinction entre I.versicolor et I. virginica que les sépales (Figure 2).
Discussion
I. setosa est morphologiquement distincte des deux autres espèces comme le démontre Anderson (1936). Les différences morphologiques entre I.versoicolor et I. virginica sont plus faibles.
Conclusion
Il est possible de différencier I. setosa de I. versicolor et I. virginica sur base de la morphologie de leurs fleurs.
Bibliographie
Anderson, Edgar. 1935. “The Irises of the Gaspe Peninsula.” Bulletin of the American Iris Society 59: 2–5.
———. 1936. “The Species Problem in Iris.” Annals of the Missouri Botanical Garden 23 (3). Missouri Botanical Garden Press: 457–509. https://doi.org/10.2307/2394164.